Salut tout le monde, me revoilà encore pour un autre Nihon Animator. Un nihon musical encore une fois, mais axé sur le patinage artistique sur un fond bichromatique. Je vais laisser ma chère Sura, qui traduit pour vous cet épisode en dire plus. ^^
Bonsoiiiiiiiiir !
Comment ça va ? Fin de semaine, Jeudi, jour pourri, pas tout à fait le week-end et déjà trois jours dans les pattes, je ne sais pas vous, mais moi, je dors comme un loir, et de plus en plus tôt.
Enfin, pas venue ici pour vous parler de sommeil, non, plutôt de nuit blanche. De ces nuits qui n’en finissent plus, de ces heures qui s’assombrissent, se piquettent d’étoiles aux couleurs chatoyantes et si lointaines. Du chant du vent qui lève ce parfum de fleurs et de printemps, cette saveur envoûtante des premières sèves fraîchement montées. De ces rêves qui nous motivent à passer des nuits entières à travailler, penché(e)s sur nos bureaux, écrivant à s’en faire mal à la main, avalant les kilomètres avec le souffle haletant ou répétant encore et encore les mêmes mouvements, les mêmes gestes jusqu’à ce qu’ils deviennent mécaniques et fassent danser notre corps comme s’il s’agissait de magie.
J’me suis sentie l’âme poétique, visiblement, aujourd’hui…
Je voulais parler, en réalité, du dernier Nihon Animator, Endless Night ! (Bah oui, la nuit sans fin, voyons. Vous parlez anglais, un peu ? Les bases, au moins ?)
Alors, ce Nihon Animator raconte l’histoire d’un jeune garçon qui se prend de passion pour un patineur artistique, et décide d’en faire sa carrière pour rencontrer, un jour (mon prince viendra ♪), ce fameux patineur.
Son histoire est narrée en chanson, par le groupe « in the suite », avec comme chanteuse la magnifique voix de… Yohan !
Nan, c’est faux. Ç’aurait pu, cela dit, parce qu’il m’en a fait une magnifique interprétation au micro, mais ce sera tout de même une voix plus féminine et plus agréable (ne le prends pas mal, Yohan, tu chantes très bien, je t’assure)(Yohan : Ne la croyez pas, je chante très mal. Je suis plus efficace que la danse de la pluie), celle de Mikako Komatsu. Cela dit, on peut aussi prendre ma voix, je la connais par cœur, maintenant, cette chanson.
Oui, messieurs dames, je vous annonce fièrement que c’est moi qui ai fait la traduction de ce Nihon, entièrement du japonais ! Munie de mon dictionnaire, j’ai bravé les kanji et les tournures bizarres, les particules et toutes ces choses difficiles à saisir pour vous offrir une jolie traduction.
On remerciera tout de même Nagi, qui a eu le courage de repasser derrière moi, avec toutes mes petites annotations bizarres pour expliquer la traduction (« Tourne le tour », hm…), et qui vous a joliment changé ça, de manière à ce que vous puissiez le chanter à tue-tête sans aucune hésitation.
Concernant la forme, les jolis dessins et tout ça, ce Nihon Animator a été réalisé par Kenji Miyamoto, patineur artistique talentueux japonais (je vous invite à regarder une de ses prestations), et Atsushi Kamijo pour les graphismes et le character design, qui reste très plaisant à voir. (Tous en cœur, à la une, à la deux, à la trois, Endless Niiiiiiiight ! I gotta show you, you gotta love me…)
Quand je vous disais que je la connaissais par cœur, ce n’est pas une blague.
On remerciera aussi Yohan qui s’est pris la tête, un peu, sur son karaoké, et on remerciera aussi l’autre personne qui a bossé dessus (je suis désolée, j’ai oublié ton nom ! Je ne sais pas qui tu es -Yohan, sauve-moi la vie, remercie-le pour moi. Son travail est magnifique, vraiiiiiiment)(Yohan : C’est Kenta, Sura, Kenta. ^^ Merci à lui pour m’avoir dépanné encore une fois lorsque je bloque sur l’effet et qui l’a entièrement remanié. Vive Kenta ! ).
Et le premier qui se plaint du boy’s love, je lui fais manger l’intégrale des Ai no Kusabi ! Vive le yaoi ! -se sauve très loin, loin de tous ces fans de loli’-
Bon épisode à tous et apprenez bien cette chanson, vous aurez une interro dessus la semaine prochaine.